Tel un Gainsbourg et sa Jane Birkin, Lockhart fait son retour dans un duo sensuel et malicieux avec la chanteuse Fishbach, qui troque pour l’occasion son univers sombre et new wave pour une amourette d’été sur la plage. Raconté dans un slam façon pop 60’s ensoleillée, le morceau réunit les habituelles instrumentations funk et nu-disco du producteur parisien, déjà présentes sur son irrésistible premier ep Toi, sorti en 2014. Après avoir travaillé à la production de nombreux disques, notamment pour Amarillo, François Club, L’Impératrice ou encore Bleu Toucan, Lockhart retourne à ses projets solos, pour notre plus grand plaisir. Cultivant son amour pour les esthétiques kitsch, l’artiste a confectionné lui-même la pochette (très colorée) du single, avec des photos de sa tournée au Venezuela et des polices d’écriture à faire trembler tout graphiste hipster, amateur de triangles. Des gifs animés – tout aussi loufoques, on l’espère – devraient accompagner la sortie de son prochain titre à la rentrée, ainsi qu’un concept vidéo, en prévision d’un nouvel EP. Lockhart ne se prend pas au sérieux, et on en redemande!

Single “Femme Fantôme”, disponible le 29 juin sur Soundcloud.
En concert le 14 juillet au festival Pete The Monkey (Saint-Aubin-Sur-Mer)

On vous l’annonçait il y a quelques semaines, le célèbre rooftop-bar parisien Le Perchoir, basé dans le Marais et à Ménilmontant, s’est lancé récemment dans la réalisation d’une compilation regroupant des titres inspirés de ses espaces et de ses vues panoramiques haut perchées. Intitulé “Ten Birds”, le disque enregistré aux Studios Saint Germain et aux Red Bull Studios, réunit 10 artistes différents, dont Kazy Lambist, Ana Zimmer, Tom Fire, Saint Michel et Clément ASWF, au travers de 5 morceaux inédits et de leurs 5 remixes respectifs.

“Ten Birds” sera disponible en vinyles le samedi 2 juillet et en version digitale le 1er septembre. Le Perchoir célébrera la sortie vinyle le 2 juillet au tout nouveau rooftop de Gare de l’Est, lors d’une Release Party qui vous fera à n’en pas douter, planer au-dessus des toits parisiens. Au programme des réjouissances : des lives de Tom Fire, Singtank, Villanova, Ana Zimmer, Clement ASWF, Petit Prince et Saint- Michel.

Gagnez 3 vinyles autographiés et 5 x 2 places pour la Release Party

A cette occasion, Les inRocKs lab et Le Perchoir vous font gagner 3 vinyles collectors de “Ten Birds”, pressés en quantité limitée et signés de la main des artistes, ainsi que 5 x 2 places de concert pour la Release Party. Pour participer au concours, rien de plus simple : il vous suffit de nous envoyer vos nom et prénom à l’adresse concours@inrocks.com, en précisant “Ten Birds : vinyle” ou “Ten Birds : Release Party” dans l’objet du mail. Un tirage au sort déterminera les gagnants.

En attendant de pouvoir écouter la compile – perché à 10 mètres du sol ou depuis votre lit, sur votre tourne-disque -, suivez Kazy Lambist, lauréat inRocKs lab 2015, et Ana Zimmer en studio, en plein enregistrement de leurs morceaux composés pour l’occasion :

Compilation “Ten Birds”, disponible en version physique et en écoute chez Colette et dans les différents Perchoirs, à partir du 2 juillet, puis en version digitale le 1er septembre.
Plus d’informations sur le site du projet.

Release Party le 2 juillet au Perchoir de l’Est
Accès par l’aile Saint-Martin de la Gare de l’Est – 10ème arrondissement
Ouvert du 21 juin à la mi-octobre 2016

Chaque mois, le laboratoire de découvertes des inRocKs passe l’internet au peigne fin à la recherche des perles françaises qui sauront combler son appétit insatiable. Pour fêter le début de l’été, il vous propose 15 morceaux de nouvelles pousses et grands espoirs de l’année 2016.

Mon Frère Et Moi – La Musique Soul
Sans trop de mystère, on retrouve deux frères aux manettes : Quentin et Jérémie Arcache (du groupe Revolver). Après avoir chanté comme enfants de chœur, les voilà réunis pour briller cette fois-ci sur l’autel pop. Leur premier single dissèque quant à lui les tribulations d’un dance floor débitant de la musique soul. Cherchez l’erreur.

J()K() – Fools
Méfiez-vous des apparences, J()K() est un duo à prendre bien au sérieux comme le précise son single “Fools” : “I want to be taken seriously” ! Composés de la chanteuse Iris Di Napoli et du musicien Arthur Vonfelt – sortant tout juste du conservatoire de Bâle – ces deux Parisiens d’adoption s’inspirent des atmosphères enivrantes des débuts de The Do et de la folk mystique de Half Moon Run.

Superjava – All in All
Né de la rencontre entre Archibald et Alexandre, étudiants de la Berklee Music School, et du compositeur à l’image Arnaud, Superjava est un trio fétichiste de bagnoles et dont les clips suivent l’épopée du fameux engin flamboyant. Dans leur autoradio, une tripotée de synthés et de pétulantes guitares viennent réveiller vos sens. Pour orchestrer leur premier ep, le trio s’est entiché du réalisateur Guillaume Jaoul (Tahiti Boy, Rover, Forever Pavot) pour un résultat digne d’une B.O. de grandes vacances.

PI JA MA – Radio Girl
Propulsée un peu maladroitement sous les feux des projecteurs de Nouvelle Star, Pauline raconte, dans son premier single, “Radio Girl”, une expérience unique mais un peu artificielle, avec des fans et des paillettes en pagaille. Pop rêveuse et joliment bricolée.

La Ronge – Far Away
Fêtant l’arrivée des beaux jours avec le single “Take me (far away)”, le quintet parisien délaisse quelque peu les rythmiques funk de leurs débuts pour s’immerger dans un bain de summer pop ensoleillée.

Invigo – Gravity
Composant en autarcie dans sa chambre, le jeune producteur Venceslas Catz s’émancipe de sa formation classique (10 ans de violon), dont il retire un sens de l’harmonie et de l’arrangement certain,  pour embarquer à bord d’une machine pop et cosmique. Délicieusement jazzy, on reste sous le charme du single gracile “Gravity”. Après avoir dévoilé l’ep “Outa Space”, il travaille sur un nouvel disque : “Artificial Love” dont la sortie est prévue pour la rentrée prochaine.

Dust – Kill The Night
Siegfried de Turckheim est l’homme orchestre qui se cache derrière le projet solo Dust. Egalement remarqué pour son duo Poom, le Parisien s’émancipe de son voyage pop et coloré pour nous présenter un travail introspectif et élégant, s’inspirant du grand James Blake et du pianiste Randy Newman.

Cocovan – Chic
Inspirés des années 80, le carré noir de jais et la glam pop de Miss Cocovan risquent de faire tortiller votre fessier sur la piste de danse tout le mois de juillet. Parisienne d’origine iranienne, Cocovan enfile le costume de Madonna – avec son grain de beauté, son sens de la chorégraphie et ses tenues affriolantes – et ça lui va à merveille. On lui souhaite le même destin.

Draumr – Lighs Out
Aux manettes de Draumr, se cache l’auteur, compositeur et interprète Gabriel Cheurfa. Avec une voix sensuelle rappelant les ébats de Sade et des mélodies planantes, le Parisien nous ouvre les portes de son intime atelier de création, son coeur. Extrait de son premier Ep Nefelibata (sorti fin 2015) “Lights Out” est un petit bijou dream pop. On attend un nouveau single : “Strange-Face Illusion” pour l’été.

Kit Thomas – Hold On
Remarqué sur une compile CQFD (ancêtre des inRocKs lab) en 2006 avec ses copains de 8LPM, puis avec un album “The WA Salute” en 2007, Kit Thomas est (enfin) de retour avec le single “Hold On”. Bercée par les gazouillis d’un petit matin de campagne, cette balade pop et délicate redonne du baume au coeur et égaye les journée craignos passées à cliquer frénétiquement derrière votre écran.

Cléa Vincent – Jmy attendais pas
Extrait de son premier album prévu pour octobre, Cléa Vincent dévoile le single “Jmy Attendais pas”. Creusant dans la veine 90’s et synthétique, la pétillante Parisienne fait suite aux ep prometteurs  “Non mais oui” 1/2 et 2/2 avec cette déclaration d’amour à peine feutrée et parfaite pour improviser pour une petite choré dans son salon.

Barbagallo – Mungibeddu
Membre du trio Aquaserge et batteur pour les Australiens Tame Impala, le Toulousain Julien Barbagallo, signe un nouveau single au nom d’un elixir de longue vie- avant-goût de son second album (prévu pour la rentrée prochaine). Après “Amor de Lonh”, notre troubadour baroudeur prolonge son pèlerinage mystique avec des envolées psyché et une prose métaphorique (reflétant surement sa rude vie de tournée) !

Polo & Pan – Nanä
Après les tubesques “Plage Isolé” et “Dorothy”, voici la nouvelle mouture du duo parisien formé par Polocorp et DJ Peter Pan : un ep de jungle spatiale baptisé “Canopée”. Impossible de ne pas tomber sous le charme du morceau “Nanä” et de ses figures exotiques. Enfilez un collier de fleurs hawaïennes et tartinez un peu d’huile de coco sur vos oreilles, vous y êtes presque, les vacances arrivent.

Jordan Lee – What Do I Know (ft. Tim Gustave)
Extrait de son premier EP “Highlights” sorti en juin chez Sodasound, le titre “What Do I Know” est un savant mélange de pop, de jazz et de R&B. Influencé par les années 90’s, le songwriter parisien de 25 ans y développe un groove élégant et des harmonies épurées. CHEESY !

Nuit Ocean – Falling Night
Renaissant de ses cendres, Dorian met de côté la pop lancinante de The Dawn Riders, pour nous dévoiler une nouvelle histoire nocturne : Nuit Ocean. Entre The XX et James Blake, on plonge la tête la première dans les réverbérations et échos fantomatiques du producteur bordelais. Un premier Ep est attendu pour la rentrée.

Vous pouvez (ré)écouter les playlists précédentes ici.

Après avoir épuisé un répertoire de pseudos (Jordee, Jordy, Jorrdee, Lestat De Lyoncourt) pour se roder, Jorrdee s’impose peu à peu comme une figure transversale mais indispensable de la scène rap hexagonale. Phénomène atone à ses débuts, son flow léthargique et ses productions enfumées finissent par séduire les plus sceptiques, aidés par la notoriété grandissante de figures voisines d’Atlanta (Young Thug, Future) et Memphis (Three Six). Entremêlant punchlines banales (“Hier c’était dimanche, aujourd’hui c’est lundi”) et mystiques (“Repousse la date de péremption, pas la patte du chaton”), Jorrdee s’exerce à l’écriture automatique sur son téléphone portable : “C’est un mélange de timidité et de fainéantise, voire de je-m’en-foutisme”.

Inspiré par des producteurs comme James Blake, il applique des textures vocales à outrance, dont l’Auto-Tune, sublimant ainsi le quotidien grisant de ses textes. Hyperproductif, Jorrdee rassemble déjà plusieurs mixtapes et un compte SoundCloud bien fourni, où il expérimente les genres : un featuring avec OK Lou, ou encore le plus romantique et populaire “Rolling Stone”. Fondateur du collectif 667 et bientôt à la tête de son propre label Hôtel-Dieu, Jorrdee assume son rôle de control freak gérant l’art work, l’essentiel de ses productions, les textes, le montage vidéo et le scénario de ses clips, jusqu’à sa stratégie commerciale. Cet été, il ressort son album Bonjour Salope (en édition limitée cet hiver) et prépare un album avec Phazz pour la rentrée.

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Après avoir grandi en Irlande du Nord, Conor Fitzpatrick s’installe tour à tour à Copenhague et Paris. Débutant son projet sous le patronyme farfelu de Teddy Au Top, il finit (tout simplement) par adopter son propre prénom. Une décision sobre, à l’image de sa musique, dont le minimalisme prône un retour aux émotions brutes. Revenu sur sa terre natale pour un séjour introspectif de cinq mois, Conor compose les ébauches de Words, un premier EP empreint de l’authenticité et du caractère urbain de la scène électronique britannique, réalisé avec l’aide du producteur suédois Anders Lagerfors.

Portés par une voix suave le rapprochant des créations de SBTRKT et Sampha, ses morceaux greffent à ces atmosphères bass music des influences diverses, brouillant constamment les pistes. Avec un art de la retenue exemplaire, Words passe de beats hip hop et basse abstract à la Flying Lotus (“Words”) à des rythmiques à la frontière entre techno pulsatile et deep house fiévreuse (“Rite”). A ce petit jeu des hybridations et des collages, on retiendra également le bijou de déconstruction “Fair Deal”, parvenant à lier une introduction proche du primitivisme krautrock d’un Cluster, à un refrain lounge et nocturne, bien plus apprêté. Un chaos adouci et subtilement maîtrisé, qui se clôt sur “16”, final brut de décoffrage, empruntant autant au trip-hop qu’aux musiques industrielles et traditionnelles asiatiques. Si Words couvre un large spectre de styles, il réussit néanmoins l’exploit de dresser des passerelles entre chacun d’entre eux et de rester cohérent du début à la fin, évitant ainsi l’écueil de la simple juxtaposition. Un premier effort fourmillant d’idées et de pistes novatrices, qui nous donne déjà envie de connaître la suite.

Ep Words, sortie le 8 juillet en version digitale sur Opening Light Musique, et en écoute sur toutes les plateformes de streaming.

Qui a dit qu’il n’y avait plus rien à faire à Paris durant l’été? Pour tous ceux qui boycottent les grandes vacances et les gros festivals au soleil – ou plutôt qui font semblant, parce qu’ils n’ont pas le choix -, voici un récapitulatif des salles de concerts de la capitale, qui continuent de vous proposer en juillet et août, des programmations de qualité. De quoi vous consoler de voir tous vos amis partir à Dour sans vous.

Le Pop-Up du Label

On commence notre sélection par le Pop-Up du Label, un lieu singulier axé autour du fooding et de la musique. Le 8 juillet aura lieu un concert de Postaal, duo franco-anglais d’electro-soul, teinté de basses UK garage vrombissantes. Ils seront accompagnés de Shkyd, producteur d’une trap brumeuse et expérimentale. Cette soirée sera suivie de la Release Party de Julia Jean-Baptiste le 9 juillet, pour son premier EP de synth-pop 80’s, durant laquelle Billy des Griefjoy viendra effectuer un DJ set.

Les dates à ne pas manquer
> Vendredi 8 juillet : Postaal + Shkyd
> Samedi 9 juillet : Julia Jean-Baptiste (Release Party) + DJ Set

Le Pop-Up du Label
14 rue Abel, 75012 Paris
Fermeture en août

L’Espace B

Le café restaurant de l’Espace B vous proposera une alternative aux mêmes dates, en commençant par le live garage rock de Entracte Twist, aux guitares lo-fi et hypnotiques, et de Young Like Old Men, avec ses lignes de basse rondes et ses envolées électroniques psyché. Ajout farfelu et bienvenu au milieu de ce chaos sonore et transcendantal : l’électro-pop déjantée, faite de bric et de broc, de Kevin Colin & Les Crazy Antonins.
Le lendemain aura lieu la soirée coldwave et bien nommée Douche Froide. Au programme : les lives dark et poisseux de Egoprisme, du chanteur parisien Sydney Valette et du projet rennais Mode in Gliany.

Les dates à ne pas manquer
> Vendredi 8 juillet : Entracte Twist + Kevin Colin & Les Crazy Antonins + Young Like Old Men
> Samedi 9 juillet : Egoprisme + Sydney Valette + Mode In Gliany

Espace B
16 rue Barbanègre, 75019 Paris

Le Petit Bain

Si vous n’avez pas envie de venir vous enfermer dans une salle, un soir de week-end, le concert d’Orouni sur la terrasse du Petit Bain – une jolie péniche près de Bercy – est fait pour vous. Lauréat du Prix inRocKs lab 2011, aux côtés de Christine & The Queens, le groupe de folk pop orchestrale et ensoleillée viendra nous présenter des extraits de son prochain album.

La date à ne pas manquer
> Samedi 9 juillet : Orouni

Petit Bain
7 Port de la Gare, 75013 Paris

Le Supersonic

Du 11 au 16 juillet, le bar du Supersonic accueillera le festival Restons Sérieux et sa ribambelle d’artistes prometteurs, parmi lesquels on retrouvera François Club, DJ et leader du groupe FOCA et ex-musicien pour Aquaserge, dont le projet solo est un concentré de dance music et synth-pop 80’s. Restons Serieux nous présentera également les new wave obscures de VIOT et Colombey, et l’electro-pop exotique de Jaune, aux teintes sud-américaines.

La date à ne pas manquer
> Du lundi 11 au samedi 16 juillet : Festival Restons Sérieux

Supersonic
9 rue Biscornet, 75012 Paris

La Brasserie Barbès

2016 marque non seulement les 30 ans des Inrocks mais aussi la reprise des DJ set organisés par les journalistes du magazine. Pour ce troisième épisode de l’année, spécial Bal des Pompiers, rendez-vous à l’étage de la Brasserie Barbès, le 13 juillet prochain.
La brasserie organise également de nombreux évènements, à suivre au jour le jour sur sa page Facebook.

La date à ne pas manquer
> Mercredi 13 juillet : Bal des Pompiers des Inrocks

Brasserie Barbès
2 Boulevard Barbès, 75018 Paris

LaPlage de Glazart

Ancienne gare routière reconvertie en salle de spectacle, le Glazart organise chaque été des événements en extérieur sur sa fameuse LaPlage de Glazart. Venez profiter du charme des lieux le 14 juillet lors du Paulette festival, où se succéderont de nombreux DJ sets et concerts, notamment de Burning Peacocks, duo de dream pop psyché formé par l’actrice et chanteuse Alma Jodorowsky et le multi-instrumentiste David Baudart. Le Glazart invitera également la chanteuse de pop songs romantiques Alice Vanor, le 20 juillet, puis VIOT et Palatine, groupe de pop country mélancolique et enivrante, le mercredi suivant.

Les dates à ne pas manquer
> Jeudi 14 juillet : Paulette festival
> Mercredi 20 juillet : Alice Vanor
> Mercredi 27 juillet : Palatine + VIOT

LaPlage de Glazart
7/15 Avenue Porte de la Villette, 75019 Paris

La Mécanique Ondulatoire

Le 16 juillet prochain, le bar de Bastille qui défend sa passion pour le rock depuis 2007, présentera un live du combo parisien Travel Check, auteur d’un EP sorti sur le fameux label Howlin’ Banana Records. Oeuvrant dans un style garage aux accents summer pop, tout droit sortie des années 60, le groupe s’inscrit dans la droite lignée des formations californiennes et des débuts lo-fi de Smith Westerns.

La date à ne pas manquer
> Samedi 16 juillet : Travel Check

La Mécanique Ondulatoire
8 Passage Thiéré, 75011 Paris

Le Point Ephémère

Le Point Ephémère ne chômera pas pendant les vacances d’été. On vous conseille pas moins de 4 soirées entre le 20 juillet et le 5 août, à la hauteur de la réputation de la salle parisienne. La première réunira Good Morning Tv, projet pop psyché et planant de Bérénice Deloire, évoquant Tame Impala et l’imagerie du Nowhere de Greg Araki, et Brace! Brace! – groupe de rock alternatif aux allures noisy et lo-fi 90’s. On retrouvera lors d’une seconde soirée, l’électro-pop lunaire de Lewis Ofman, suivie d’un DJ set de Profil de Face, label réunissant les projets Bleu Toucan et Moi Je. Le Point Ephémère invitera ensuite La Route du Rock, qui nous présentera la programmation de sa 26ème édition, aux cotés du collectif de pop underground La Souterraine et de ses artistes Halo Maud et Canari. Enfin, on terminera en beauté cette saison dans la salle parisienne à l’anniversaire des 5 ans du webzine culturel Retard, avec des lives de la productrice de bass music Loukoko et la chanteuse de RnB électronique SÔNGE.

Les dates à ne pas manquer
> Mercredi 20 juillet : Good Morning TV + Brace! Brace!
> Vendredi 23 juillet : Lewis Ofman + Profil de Face (DJ set)
> Jeudi 28 juillet : La Route du Rock <3 La Souterraine, avec Halo Maud et Canari
> Vendredi 5 août : 5 ans de Retard : Loukoko + SÔNGE

Point Ephémère
200 quai de Valmy, 75010 Paris

Le Wanderlust

Pour terminer cette sélection, on vous propose de vous rendre le 22 juillet au Wanderlust, au bord de la Seine, pour assister à la fête du label Pain Surprises. Edifié au sein de la Cité de la Mode et du Design, le Wanderlust réunit espace musical et institution urbaine lifestyle, autour d’un club, d’une salle de restaurant et d’une immense terrasse. Après un live de Jacques, producteur électro farfelu, récupérateur de bruits et autres samples en tout genre, la soirée de Pain Surprises se poursuivra notamment sur un DJ set de Jabberwocky.

La date à ne pas manquer
> Vendredi 22 juillet : Pain Surprises Cool Party, avec Jacques et Jabberwocky (DJ set)

Wanderlust
32 Quai d’Austerlitz, 75013 Paris

Naya et sa Telecaster sont devenues inséparables. Ensemble, elles ont déjà parcouru un sacré bout de chemin. A seulement 16 ans et après une finale à The Voice Kids en 2014, la jeune fille, tombée dès son plus jeune âge dans la marmite pop-folk anglosaxone, et qui compose et écrit ses chansons toute seule, s’apprête à sortir son tout premier ep à la rentrée : “Artistiquement parlant c’est ma naissance, mon éclosion, d’où le nom du disque : Blossom.” Il est vrai que depuis ses premières reprises des Beatles, le petit bourgeon Naya a bien mûri. Sur le titre “Jukebox”, une ode à ses pères spirituels, Naya chante “I am not like the other girls of my age, my universe is so far from theirs” : une différence de maturité qui se ressent dans le timbre de sa voix délicate.

“Je suis assez réservée et discrète dans ma vie au quotidien, mais derrière mon micro je sens une force qui me permet d’affronter les scènes et le public”, dit-elle. Et des scènes, elle en a déjà affronté des dizaines, forgée par des premières parties qu’elle a assuré pour Rover, Mademoiselle K ou encore Fauve ≠. Cet été, Naya s’apprête à séduire un nouveau public, en arpentant les festivals (Vie sauvage, Big Festival, Musilac…). Quand on lui parle d’avenir, la Libournaise garde la tête bien sur les épaules : “C’est important pour moi de m’inscrire dans la durée. D’avoir des choses à dire à travers plusieurs disques. Je fais ma route, je crois en moi et j’avance avec mes convictions et mes projets.” C’est tout ce qu’on lui souhaite !

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Depuis 2003, le Prix inRocKs lab déniche pour vous les talents français de demain. Après avoir découvert des artistes tels que Christine and the Queens, The Bewitched Hands, Feu! Chatterton ou encore Kazy Lambist, le jury – composé de membres de la rédaction – a sélectionné pour cette édition 2016, 10 nouveaux lauréats, qui participeront au Festival inRocKs lab, les 16 et 17 septembre prochains à la Gaîté lyrique.

Découvrez la programmation du festival

Vendredi 16 septembre
Ouverture des portes à 19h

Clara Luciani
Nusky & Vaati
Michelle Blades
Malca
Agar Agar

Samedi 17 septembre
Ouverture des portes à 19h

Kaviar Special
Laure Briard
Eddy de Pretto
Royaume
Daze

Pour plus d’informations sur la programmation, rendez-vous sur la page des lauréats 2016.

L’accès au festival se fera uniquement sur invitation, à retirer gratuitement – et dans la limite des places disponibles – sur Digitick à partir du 23 août.

Festival inRocKs lab, les 16 et 17 septembre à la Gaîté lyrique.
Entrée gratuite sur invitation, à retirer à partir du 23 août sur Digitick.
Ouverture des portes à 19h.

> Lien : Evénement Facebook

La Gaîté lyrique,
3 bis, rue Papin,
75003 Paris

C’est ironiquement le clip “Goodbye” qui réunit enfin à l’écran MC Nusky et Vaati. Loufoque, la vidéo précise leurs rôles : Nusky, comédien à ses heures, exubérant dans ses mimiques et ses tirades ; Vaati plutôt dans les chorégraphies pédestres et productions raffinées. Classé par défaut dans la catégorie hip-hop, le MC de Montrouge débite des paroles pleines d’autodérision et de subtilité. D’ailleurs, Nusky ne renie pas ses premières amours rock : “Jim Morrison m’a retourné le cerveau quand j’étais plus jeune.” Possédé par le live mythique de Joe Cocker à Woodstock, il lui emprunte ses danses enfumées : “Pour la scène, il faut être une rock-star.“

Pas question de rester derrières les potards pour son binôme des Yvelines : Vaati sublime le show avec des solos de guitare et des pas de danse, blasé qu’il est des live de ses idoles rap : “Le rap, c’est le truc le moins cool sur scène.” Débutant leurs carrières en solo, Nusky (au sein du crew La Race Canine) et Vaati (via la maison de disques JIHELCEE, fondée par Darryl Zeuja de 1995) se rapprochent grâce à internet. Après un trip codéiné (Lecce, 2014), ils transforment l’essai avec Swuh, mixant des sonorités organiques et empruntant certains synthés analogiques et basses à Michael Jackson : “Au début, c’était plus electro. Maintenant on écoute plus de musiques des années 1980 et de jazz-fusion.” Après avoir été sacrés par les Inouïs du Printemps de Bourges, ils rejoignent l’affiche du festival inRocKs lab des 16 et 17 septembre à la Gaîté Lyrique.

Concerts le 27 août à Rock en Seine et le vendredi 16 septembre au festival inRocKs lab, à la Gaîté lyrique.

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Auteur d’un premier ep de folk mélancolique, la compositrice cachée derrière le pseudonyme d’Eskimo n’en est pas pour autant à son coup d’essai. Passionnée de chant depuis sa plus tendre enfance, Marie entre à 21 ans dans une école artistique pluridisciplinaire, qu’elle quitte l’année suivante pour un cursus de jazz. Après avoir prêté sa voix pour la formation cold-wave Mhairysh, elle intègre le groupe De La Jolie Musique et enchaîne les collaborations avec des artistes talentueux comme Halo Maud et La Féline. Guitariste autodidacte, la musicienne compose ses premiers morceaux solo en 2009. Une démarche qui l’aide à passer le cap d’un séjour moralement éprouvant au Danemark.

Encouragée par ses amis, elle se décide finalement à dévoiler son travail, publiant cette année l’ep Dancing Shadows. Puisant leurs influences à la fois dans le folk pastoral, le postrock mélancolique (“Fragment Wall”) et les dissonances lo-fi de Keiji Haino ou encore Sonic Youth (“Red Umbrella”), les six pistes du disque nous font voyager dans les contrées glaciales de Scandinavie, région dont Marie est tombée follement amoureuse. Portée par les instrumentations minimalistes de François Xavier Guéant-Mata, Lucia Rodriguez et Pierre Tanguy, la voix d’Eskimo, émouvante de force et de simplicité, atteint son apogée sur les poignants “Lame Girl” et “Run Mind”, s’insinuant en nous comme un frisson dans l’échine. A moins qu’il ne s’agisse du froid nordique.

Concert le 21 septembre au Carmen (Paris)

Retrouvez l’interview complète d’Eskimo par ici…
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Après avoir entamé une carrière de juriste, qui lui permet de se payer une collection impressionnante de synthés, Nassim décide de tout plaquer pour se consacrer à sa passion pour la musique. Plongé dans le bain du funk dès sa plus tendre enfance grâce à son grand frère, le Rouennais qui officie sous le pseudonyme de Daze, fait renaître l’esprit des années 80 à travers ses machines d’époque et de délicieux effets de voix robotisées. Un arsenal technique dont l’artiste semble toutefois s’émanciper sur son dernier disque Variations, s’ouvrant à de nouvelles expérimentations sonores. Rencontre avec le lauréat inRocKs lab 2016, qui nous dévoile pour l’occasion une playlist de 14 titres qui ont influencé son univers musical.

Daze, ton nom de scène, ça vient d’où exactement ?
Il y a plusieurs années j’étais dans le graffiti, et je signais “DASE”. Ça montait en force car j’ai commencé à en faire avec des personnes qui étaient reconnues, comme Mode 2 ou des gars du 93NTM, et d’autres de Paris, avec des noms assez délirants comme 5 Chacals Puants. J’ai arrêté pour faire de la musique.

Quel a été le déclic qui t’a poussé à faire de la musique ton métier ?
Je remettais toujours ça au lendemain. Pour me donner bonne conscience, j’ai acquis un certain nombre de synthétiseurs, de boites à rythmes et samplers. Et puis à un moment je me suis dit « Tu veux te lancer dans un musée de la musique ou tu veux vraiment en faire ? ». J’ai fini par faire le ménage : je n’ai gardé que les gros synthés coups de coeur, et j’ai revendu tout le reste.

Comment t’est venue l’idée de collectionner ces synthés ?
J’ai grandi durant les années 80. Il y a eu une évolution complètement dingue dans le domaine des instruments électroniques. Plein d’artistes ont abandonné la composition classique du groupe pour se contenter d’une simple boite à rythmes. J’étais particulièrement touché par les instruments de l’époque : le Prophet-5 ou le Memorymoog.

Quels ont été tes premiers coups de coeur musicaux ?
Il y a eu Zapp, que j’avais découverts à leurs tous débuts. Je me demandais comment ils faisaient leurs voix robotisées. Par la suite, je me suis intéressé à l’entourage de ces groupes là avec Parliament et Funkadelic. Les mecs qui ont fait ça avaient un matos à la pointe, et c’est pour ça que le son n’a pas pris une ride. Rod Temperton m’a aussi beaucoup influencé. Il est l’éminence grise de Michael Jackson et Georges Benson.

Ton titre “Show Me Again” est dans la BO du jeu A Blind Legend. Tu es fan de jeux vidéo ?
Je suis surtout fan de rétro gaming. C’est la passion d’une communauté de personnes qui essaient de faire revivre l’intérêt pour les jeux des années 80 et 90. Quand j’ai commencé à m’intéresser à la musique assistée par ordinateur, j’essayais de reproduire les bandes sons des jeux qui m’avaient le plus marqué.

Avec quoi as-tu commencé à composer ?
J’ai commencé par des mélodies de jeux vidéos, et puis après j’ai fait mes propres mélodies sur un tracker 4 pistes. Je devais avoir 8 ans à l’époque. C’était un petit logiciel avec une carte qui s’appelait un échantillonneur – l’ancêtre du sampler. Ensuite, tu pouvais mettre un lecteur enregistreur pour enregistrer des sources de sons. J’avais conçu toute une banque de sons. Et à partir de là, je faisais mes morceaux. C’était du bidouillage à 100%.

Sur tes premiers EPs, il y a pas mal d’effets de voix robotisées. Ca a été ton obsession pendant un moment ?
L’EP S.O.L.A.R est celui sur lequel j’ai le plus utilisé la talkbox et le vocoder. J’ai fabriqué moi-même le boitier de la talkbox. Au lieu de parler et d’extraire l’air de tes cordes vocales, c’est le son du synthé qui passe par les cordes vocales et qui robotise ta voix. Peter Frampton avait utilisé ce procédé dans les années 70, et ça avait scotché tout le monde. Le grain de voix est 100% analogique, c’est beaucoup plus plaisant à écouter qu’un son traficoté sur ordinateur. Tout ce qu’on écoute aujourd’hui dans le hip hop, vient du logiciel Auto-tune.

Sur ton mini LP Variations, tu sembles t’émanciper de toute cette technique.
Quand je réécoute ce que j’ai fait sur S.O.L.A.R, j’ai le sentiment que c’était plus un challenge par rapport à la maîtrise de la talkbox. Aujourd’hui, je suis plus dans la recherche des textures. D’ailleurs avec la talkbox, on peut faire autre chose que chanter : des nappes sonores par exemple, et des choeurs avec des synthés bien granuleux, histoire de salir un petit peu le son. Mes premiers maxis étaient plus conformistes. Sur le dernier disque, je me suis lâché. On peut raconter plein de choses en faisant tomber des barrières.

Pourquoi avoir baptisé ton morceau “New York 1984” sur ton premier EP Foundations ?
Pour moi New-York, c’était un lieu où tout était permis. Que ça soit dans la musique, dans la peinture ou dans la sculpture. En 1984, j’étais gamin mais super sensible à tout ça. J’ai grandi dans une cité désœuvrée, donc rêver de ça, ça me faisait un peu oublier le quotidien. Je n’ai pas été épargné par les mauvaises fréquentations mais j’ai fait le choix de rester dans la musique et de m’y intéresser à fond.

Tu chantes sur certains morceaux ?
Sur S.O.L.A.R, tous les textes sont de moi et c’est moi qui chante. Mais par pudeur j’utilise un vocoder et une talkbox. Au début, j’ai eu peur de me faire rembarrer avec mon anglais un peu approximatif, et je n’ai pas encore franchi le cap de mettre ma voix nue.

Il n’y a pas de photos de toi sur le net. C’est aussi par pudeur ?
Ça s’est vraiment fait malgré moi. Chaque fois qu’on a voulu me prendre en photo, bizarrement, les photos disparaissaient ou étaient complètement floues. Ce qui fait que même si j’ai fait des dates récemment en DJ set, aucune photo n’en est ressortie. Et ça a contribué involontairement au mystère. Du coup, c’est presque devenu un jeu…

Tu prévois de faire autre chose que des DJ set à l’avenir ?
Ça pourrait se décliner en live. Je serais vraiment heureux d’être accompagné de guitaristes ou même de cuivres. Pour moi la chose la plus importante, c’est la façon dont tu présentes ton univers musical. La technique, c’est un plus mais ce n’est pas une fin en soi. Tous les moyens sont bons pour absorber l’attention du public. Le rêve serait de créer une vraie scénographie, et d’utiliser des synthés, talkbox, et samplers en temps réel.

Concert au festival inRocKs lab, le 17 septembre à la Gaîté lyrique

On doit probablement la carrière de ce jeune prodige des claviers, bidouilleur invétéré et nerd encapuchonné, à une cloison en Placo. Celle qui séparait sa chambre de celle de son grand frère. Derrière ce mur, un océan de synthé et de basse groovy s’envolait de la platine et célébrait la ferveur du funk et les prémices du hip-hop. Jeune digger, puis collectionneur de claviers et de samplers qui ont marqué l’âge d’or de l’engin analogique : les années 1980. Et pour se payer ce joli petit monde, Nassim entame une carrière de juriste. A la fin des années 2000, le trentenaire fait enfin son coming-out musical, abandonne son blaze “Dase” pour “Daze” – il évolue parallèlement pendant dix ans dans le graffiti.

“Un jour, je me suis dit qu’il fallait que je prenne mon courage à deux mains. J’ai fait le ménage et retenu seulement les synthés coups de coeur.” Pour son premier single, “New York 1984”, il rend hommage à une époque de liberté musicale et artistique qui lui est chère : “J’étais gamin, mais super sensible à tout ça. Pour moi, c’était le meilleur des calmants, presque un anesthésiant. J’ai grandi dans une cité désoeuvrée, donc pouvoir rêver à travers ça, ça me faisait un peu oublier le quotidien.” Fanatique de vocoder et de talk box – il a fabriqué la sienne –, ses premiers travaux prennent des airs de challenge et d’expérimentation. En mai, il sort l’ep Variations, se libérant enfin de la technique pour partir à la recherche de textures electronica, tout en gardant les fondamentaux de la funk comme colonne vertébrale de son processus de composition.

En concert le 17 septembre au festival inRocKs lab, à la Gaîté Lyrique (Paris)

Retrouvez l’interview complète de Daze par ici…
Et toutes nos découvertes du lab par là !

A l'occasion du prix Nouvelles Scènes Music Machines 2018, les Inrocks Lab assurent une série de 13 showcases gratuits dans les magasins de notre partenaire, les Galeries Lafayette. Au programme de ces concerts intimistes, les 26 lauréats désignés par la rédaction parmi les 1800 candidatures reçues.

Après des concerts endiablés à Angers, Reims et Biarritz, on vous donne RDV jeudi 24 mai de 16h30 à 17h30, à Nantes pour un concert inédit de Moussa et Degree.

Moussa

Avec un seul morceau à son actif (Cabrioli), le jeune producteur fait déjà des ravages sur les ondes, et développe sur piste un métissage musical dont lui seul à le secret. Hip-hop, rock, electro, difficile de le borner à une seule case et c'est tant mieux.

Degree

Autodidacte, Degree s'inspire d'artistes comme Bon Iver, Chet Faker ou James Blake. Ce jeune Nantais cultive la mélancolie au travers d’arrangements mixant sonorités digitales et organiques.

Des concerts retransmis en direct via Facebook Live

Pour les Nantais et Nantaises, on vous donne RDV jeudi 24 mai devant l'entrée principale des Galeries Lafayette de Nantes (2-20 rue de la Marne). L'accès est libre et gratuit (mais dans la limite des places disponibles). Et si vous ne pouvez pas vous rendre sur place, pas de panique, les concerts seront retransmis en direct via Facebook Live sur le compte des Inrocks, dès 16h30.

> Retrouvez tous les lauréats Inrocks Lab de cette édition 2018

Votez pour votre artiste préféré

Grâce à l'application mobile GL Music Machines, vous pouvez soutenir votre lauréat préféré. Celui qui recevra le plus de votes, sera ainsi sacré Prix du Public. Ce dernier sera invité à jouer à Paris les 28 et 29 juin, sur le rooftop des Galeries Lafayette Haussmann, et à une soirée Nuit Zébrée. Fin des votes : le 18 juin à midi. Il est possible de voter pour plusieurs lauréats différents, mais pour un seul dans chaque ville.

Enfin, si vous souhaitez assister aux prochains concerts, n'hésitez pas à consulter le calendrier du prix Nouvelle Scènes Music Machines. RDV sur l'onglet Événement, de notre page facebook.

A l'occasion du prix Nouvelles Scènes Music Machines 2018, les Inrocks Lab assurent une série de 13 showcases gratuits dans les magasins de notre partenaire, les Galeries Lafayette. Au programme de ces concerts intimistes, les 26 lauréats désignés par la rédaction parmi les 1800 candidatures reçues.

Après un concert endiablé à Angers, Nice, Reims, et Biarritz, on vous donne RDV samedi 26 mai de 16h30 à 17h30, à Bordeaux pour un concert inédit de Théa et Naë.

Thea

Avec presque rien, THEA sait suspendre le temps et créer le silence autour d’elle. Ses chansons pop-folk subtiles et intemporelles, aux parfums d’océan et de soleil de fin d’été, emmènent notre coeur en vacances. Repéré par Mark Daumail (Cocoon), la belle de 22 ans abandonne rapidement les reprises pour se lancer dans ses propres compositions. Son premier EP est prévu pour le printemps, et à en écouter les deux premiers extraits Blame U' et Summer in a cage, son talent brille déjà haut dans le ciel étoile de la scène hexagonale.

Naë

Naë est une chanteuse, auteur et compositeur qui baigne dans la musique depuis toujours. Ses influences vont de Alicia Keys, Erykah Badu, Hiatus Kaiyote, à Anderson Paak et Kendrick Lamaar. Après avoir assuré les premières parties de nombreuses pointures (Soprano, Patrice), elle s'invite sur scène avec le rappeur Sopico ou encore le chanteur reggae Naâman. Avant la sortie de son premier EP prévu pour la rentrée 2018, la Bordelaise nous dévoile son premier titre Now (à écouter ci-dessous). Entre nu-soul et pop sensuelle, les compositions de Naë vont en faire craquer plus d'un !

Des concerts retransmis en direct via Facebook Live

Pour les Bordelaises et Bordelais, on vous donne RDV samedi 26 mai  au RDC des Galeries Lafayette Hommes de Bordeaux (12 rue Porte Dijeaux). L'accès est libre et gratuite. Et si vous ne pouvez pas vous rendre sur place, pas de panique, les concerts seront retransmis en direct via Facebook Live sur le compte des Inrocks, dès 16h30.

> Retrouvez tous les lauréats Inrocks Lab de cette édition 2018

Votez pour votre artiste préféré

Grâce à l'application mobile GL Music Machines, vous pouvez soutenir votre lauréat préféré. Celui qui recevra le plus de votes, sera ainsi sacré Prix du Public. Ce dernier sera invité à jouer à Paris les 28 et 29 juin, sur le rooftop des Galeries Lafayette Haussmann, et à une soirée Nuit Zébrée. Fin des votes : le 18 juin à midi. Il est possible de voter pour plusieurs lauréats différents, mais pour un seul dans chaque ville.

Enfin, si vous souhaitez assister aux prochains concerts, n'hésitez pas à consulter le calendrier du prix Nouvelle Scènes Music Machines. RDV sur l'onglet Événement, de notre page facebook.

A l'occasion du prix Nouvelles Scènes Music Machines 2018, les Inrocks Lab assurent une série de 13 showcases gratuits dans les magasins de notre partenaire, les Galeries Lafayette. Au programme de ces concerts intimistes, les 26 lauréats désignés par la rédaction parmi les 1800 candidatures reçues.

Après un concert endiablé à Angers, Nice, Reims, La Rochelle et Biarritz, on vous donne RDV jeudi 31 mai de 18h à 19H, à Paris (aux Galeries Lafayette de Montparnasse) pour un concert inédit de Aloïse Sauvage et Catastrophe.

Aloïse Sauvage

Dire de cette artiste qu’elle est débrouillarde est une douce litote. Aloïse Sauvage est une véritable touche-à-tout qui a fait ses classes dans l'Académie Fratellini, école supérieure des Arts du Cirque, car elle y voyait là la possibilité d’exprimer toutes ses passions (flûte, batterie, saxophone, breakdance, théâtre…). Puis la jeune femme a fait des apparitions dans des films (120 battements par minute) et elle se lance depuis peu dans la chanson, avec un premier morceau Ailleurs Higher, qu’elle a écrit et composé.(Jacques Simonian) 

Catastrophe

Collectif artistique protéiforme, Catastrophe, se produit la nuit et ne fait jamais deux fois la même chose. Dans des cabarets et des piscines vides, dans des foyers de théâtre ou des cafés fermés, Catastrophe imagine.
 Menés par le musicien Pierre Jouan et l'écrivaine et chanteuse Blandine Rinkel, ils ont sorti un premier EP Dernier Soleil en 2016, avant de s'imposer avec leur album La nuit est encore jeune, parus sur le label Tricatel (de Bertrand Burgalat). Pour le printemps, ils nous régalent d'un audacieux disque de remix, invitant des artistes tels que Alice Lewis, UTO, Pavane ou encore Léonie Pernet.

Des concerts retransmis en direct via Facebook Live

Pour les Parisiens et Parisiennes, on vous donne RDV jeudi 31 mai aux Galeries Lafayette de Paris Montparnasse (22 rue du Départ, Paris 15e). L'accès est libre et gratuite. Et si vous ne pouvez pas vous rendre sur place, pas de panique, les concerts seront retransmis en direct via Facebook Live sur le compte des Inrocks, dès 18H.

> Retrouvez tous les lauréats Inrocks Lab de cette édition 2018

Votez pour votre artiste préféré

Grâce à l'application mobile GL Music Machines, vous pouvez soutenir votre lauréat préféré. Celui qui recevra le plus de votes, sera ainsi sacré Prix du Public. Ce dernier sera invité à jouer à Paris les 28 et 29 juin, sur le rooftop des Galeries Lafayette Haussmann, et à une soirée Nuit Zébrée. Fin des votes : le 18 juin à midi. Il est possible de voter pour plusieurs lauréats différents, mais pour un seul dans chaque ville.

Enfin, si vous souhaitez assister aux prochains concerts, n'hésitez pas à consulter le calendrier du prix Nouvelle Scènes Music Machines. RDV sur l'onglet Événement, de notre page facebook.

Avec l'arrivée des beaux jours, les idées de weekend fusent ! Et pourquoi pas une escapade à Nice, sur la French Riviera ? A 1h30 d'avion de Paris, la station balnéaire est une destination idéale. En plus des plages et de la promenade des Anglais, la ville regorge de bonnes adresses, dont Romain Vigna, directeur du 109 (nouveau pôle de cultures contemporaines), vous liste ses préférées. A vos agendas !

Le meilleur spot pour petit déjeuner en ville ?
Mama Baker, la meilleure boulangerie bio de Nice avec des merveilles délicieuses et singulières.

Où est ce qu’on peut te trouver très tard dans la nuit ?
La Zonmé, un lieu alternatif et indépendant géré par le génial Pascal.

Quel est ton coffee shop préféré ?
Café de Max, rue Paul Déroulède avec des grands crus originaux sélectionnés.

Quelle est ta cantine préférée ?
j'hésite entre Bioman et le Badaboom, deux restos bio excellents au cadre organique et gérés par des humains sensibles et ouverts, le dernier étant vegan.

Et pour se mettre au vert ?
Col d'Eze à 30 minutes avec la plus belle vue de la cote d'Azur pour la journée ou à Saint Dalmas de Valdeblore à la montagne à 1h de route.

Le spot idéal pour faire/poster le meilleur selfie ?
En haut de la colline du château de Nice, avec la promenade des Anglais en contrebas.

Le spot que personne ne connaît encore mais qui vaut le détour ?
Le Frigo 16 au 109 est la toute nouvelle salle de concert underground à Nice ouverte depuis quelques semaines.

Ton quartier préféré pour les bons plans shopping ?
Nice Etoile avec un panel complet de magasins pour tous les goûts.

Le prix Nouvelles Scènes Music Machines 

Organisé par les Inrocks Lab et son partenaire, les Galeries Lafayette, le prix Nouvelles Scènes Music Machines dédié à la découverte musicale, organise une série de 13 concerts dans toute la France du 21 avril au 16 juin. Vous pouvez revivre ceux de Nice avec Jeanne et Genoux Vener (ci-dessus et ci-dessous). N'hésitez pas à soutenir les 26 lauréats en votant sur l'application mobile des Galeries Lafayette (disponible sur Android et sur iPhone).

Et rendez-vous le 31 mai prochain à l'occasion du concert de Paris (event facebook) invitant les lauréats Catastrophe et Aloïse Sauvage. Toutes les dates de la tournée : à retrouver en ligne.

A l'occasion du prix Nouvelles Scènes Music Machines 2018, les Inrocks Lab assurent une série de 13 showcases gratuits dans les magasins de notre partenaire, les Galeries Lafayette. Au programme de ces concerts intimistes, les 26 lauréats désignés par la rédaction parmi les 1800 candidatures reçues.

Après des concerts endiablés à Angers, Reims, Nice, La Rochelle, Nantes et Biarritz, on vous donne RDV samedi 2 juin de 16h30 à 17h30, à Dijon pour un concert inédit de Ian Caulfield et Sein.

Ian Caulfield

Difficile de ne pas classer le style de slacker/skateur de Ian Caulfield dans l’héritage de Larry Clark période Kids ou de Gus Van Sant période Paranoïd Park. Un style qui sentirait bon les guitares grunge et la bière tiède, si ce protégé des rémois de The Shoes n’avait pas décidé de brouiller les pistes aussi habilement. Si la guitare est omniprésente il faudrait tout de même compter sur des incursions qui convoquent autant la dream-pop de Beach House que les boîtes à rythme hip-hop. Un véritable jeu de piste ultra grisant. (Théo Dubreuil)

Sein

A la frontière entre une électro dansante et un "rap de l'absurde", le duo SEIN est le fruit des influences diverses et multiples de Balthazar et Joseph : Just Jack, Mac DeMarco, ou encore Kaytranada. Après la sortie de leur premier ep (Sein la vie), et une date de concert au Nouveau Casino, rempli comme un oeuf, leurs vidéos font sensation sur la toile. Un avant-goût de ce qui nous attend en live à Dijon !

Des concerts retransmis en direct via Facebook Live

Pour les Dijonnaises et Dijonnais, on vous donne RDV samedi 2 juin au RDC des Galeries Lafayette de la ville (41-49 Rue de la Liberté). L'accès est libre et gratuit (mais dans la limite des places disponibles). Et si vous ne pouvez pas vous rendre sur place, pas de panique, les concerts seront retransmis en direct via Facebook Live sur le compte des Inrocks, dès 16h30.

> Retrouvez tous les lauréats Inrocks Lab de cette édition 2018

Votez pour votre artiste préféré

Grâce à l'application mobile GL Music Machines, vous pouvez soutenir votre lauréat préféré. Celui qui recevra le plus de votes, sera ainsi sacré Prix du Public. Ce dernier sera invité à jouer à Paris les 28 et 29 juin, sur le rooftop des Galeries Lafayette Haussmann, et à une soirée Nuit Zébrée. Fin des votes : le 18 juin à midi. Il est possible de voter pour plusieurs lauréats différents, mais pour un seul dans chaque ville.

Enfin, si vous souhaitez assister aux prochains concerts, n'hésitez pas à consulter le calendrier du prix Nouvelle Scènes Music Machines. RDV sur l'onglet Événement, de notre page facebook.

A l'occasion du prix Nouvelles Scènes Music Machines 2018, les Inrocks Lab assurent une série de 13 showcases gratuits dans les magasins de notre partenaire, les Galeries Lafayette. Au programme de ces concerts intimistes, les 26 lauréats désignés par la rédaction parmi les 1800 candidatures reçues.

Après des concerts endiablés à Angers, Reims, Nice, La Rochelle, Bordeaux, Nantes et Biarritz, on vous donne RDV jeudi 7 juin de 16h30 à 17h30, à Clermont-Ferrand pour un concert en plein air de Terrenoire et Seth XVI.

SETH XVI

Multi instrumentaliste, chanteur et producteur, Seth XVI est un artiste autodidacte originaire de Lyon. Au delà des machines, ce sont la guitare, le piano et surtout la voix de Seth XVI qui définissent sa musique en lui offrant une sensibilité exacerbée au travers de sonorités new pop. Son second Ep Pulp vient de sortir en mars dernier, et le refrain si accrocheur de son mini tube All My Friends est déjà sur toutes les lèvres.

Terrenoire

Terrenoire est un duo de frangins aux gueules d'anges et aux boucles brunes. Quelque part entre la musique électronique, le hip-hop tellement écouté et la chanson française qui traînait dans la discothèque du père. Difficile de ne pas tomber sous le charme de leur "black paradiso" et de leur vidéos élégantes. Repérés aux Inouis du Printemps de Bourges et invités en première partie de Feu!Chatterton, on attend de pied ferme les frères et leur live aux Galeries Lafayette.

Des concerts retransmis en direct via Facebook Live

Pour les Clermontoises et Clermontois, on vous donne RDV jeudi 7 juin sur la Place de Jaude. L'accès est libre et gratuit (mais dans la limite des places disponibles). Et si vous ne pouvez pas vous rendre sur place, pas de panique, les concerts seront retransmis en direct via Facebook Live sur le compte des Inrocks, dès 16h30.

> Retrouvez tous les lauréats Inrocks Lab de cette édition 2018

Votez pour votre artiste préféré

Grâce à l'application mobile GL Music Machines, vous pouvez soutenir votre lauréat préféré. Celui qui recevra le plus de votes, sera ainsi sacré Prix du Public. Ce dernier sera invité à jouer à Paris les 28 et 29 juin, sur le rooftop des Galeries Lafayette Haussmann, et à une soirée Nuit Zébrée. Fin des votes : le 18 juin à midi. Il est possible de voter pour plusieurs lauréats différents, mais pour un seul dans chaque ville.

Enfin, si vous souhaitez assister aux prochains concerts, n'hésitez pas à consulter le calendrier du prix Nouvelle Scènes Music Machines. RDV sur l'onglet Événement, de notre page facebook.

Avec l'arrivée des beaux jours, les idées de weekend fusent ! Et pourquoi pas une escapade à La Rochelle, en Charente-Maritime ? A 1h10 d'avion de Paris, la "Porte Océane" est une destination idéale. En plus des plages et de son port, la ville regorge de bonnes adresses, dont benoît Zubryski, coordinateur à la Sirène (salle des musiques actuelles rochelaise), vous liste ses préférées. A vos agendas !

Quel est ton coffee shop préféré ?
Le café de la paix, le plus majestueux…

Quelle est ta cantine préférée ?
L’ardoise des Cloutiers, à deux pas du marché, sans doute le meilleur rapport qualité/prix de la ville.

Et pour se mettre au vert ?
Le parc Charruyer, la campagne en pleine ville!

Le spot idéal pour faire/poster le meilleur selfie ?
Je hais les selfies!!! Mais au sommet de la Tour de la Lanterne, c’est un sacré spot…

Le spot que personne ne connaît encore mais qui vaut le détour ?
L’Armateur des Vins dans le quartier de La Pallice, bel endroit, très bonne cave et accueil chaleureux.

Le lieu qui te rappelle un bon souvenir d’enfance/d’ado ?
L’île de Ré, il suffit de franchir le Pont et c’est le dépaysement assuré !

Ton quartier préféré pour les bons plans shopping ?
Le quartier Saint Nicolas avec notamment un super disquaire.

Ta terrasse favorite pour siroter un cocktail ?
La terrasse du bar de l’Aquarium, le meilleur point de vue sur la ville!

Où est ce qu’on peut te trouver très tard dans la nuit ?
Sur mon lieu de travail, à La Sirène, meilleure salle de musiques actuelles en France, en toute objectivité bien sûr !

Le prix Nouvelles Scènes Music Machines 

Organisé par les Inrocks Lab et son partenaire, les Galeries Lafayette, le prix Nouvelles Scènes Music Machines dédié à la découverte musicale, organise une série de 13 concerts dans toute la France du 21 avril au 16 juin. Vous pouvez revivre ceux de La Rochelle avec Miel de Montagne et La Hero (ci-dessus et ci-dessous). N'hésitez pas à soutenir les 26 lauréats en votant sur l'application mobile des Galeries Lafayette (disponible sur Android et sur iPhone).

Et rendez-vous le 31 mai prochain à l'occasion du concert de Paris (event facebook) invitant les lauréats Catastrophe et Aloïse Sauvage. Toutes les dates de la tournée : à retrouver en ligne.

A l'occasion du prix Nouvelles Scènes Music Machines 2018, les Inrocks Lab assurent une série de 13 showcases gratuits dans les magasins de notre partenaire, les Galeries Lafayette. Au programme de ces concerts intimistes, les 26 lauréats désignés par la rédaction parmi les 1800 candidatures reçues.

Après un concert endiablé à Angers, Nice, Reims, et Biarritz, Nantes, Bordeaux et Paris, on vous donne RDV samedi 9 juin de 16h30 à 17h30, à Toulouse pour un concert inédit de Chien Noir et Madam.

Chien Noir
S'inspirant de chanteur français (William Sheller) et de musiciens anglo-saxons comme Nada Surf, Jean aka Chien Noir compose des chansons rares, mélodiques et sensées, sombres et lumineuses à la fois.

Madam
Originaire de Toulouse et de Tarbes, MADAM est un très jeune quatuor féminin à la conquête de la scène rock, sans filtre et sans filet. Oï !

Des concerts retransmis en direct via Facebook Live

Pour les Toulousaines et Toulousains, on vous donne RDV samedi 9 juin aux Galeries Lafayette de votre ville (4-8 rue Lapeyrouse). L'accès est libre et gratuite. Et si vous ne pouvez pas vous rendre sur place, pas de panique, les concerts seront retransmis en direct via Facebook Live sur le compte des Inrocks, dès 16h30.

> Retrouvez tous les lauréats Inrocks Lab de cette édition 2018

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Grâce à l'application mobile GL Music Machines, vous pouvez soutenir votre lauréat préféré. Celui qui recevra le plus de votes, sera ainsi sacré Prix du Public. Ce dernier sera invité à jouer à Paris les 28 et 29 juin, sur le rooftop des Galeries Lafayette Haussmann, et à une soirée Nuit Zébrée. Fin des votes : le 18 juin à midi. Il est possible de voter pour plusieurs lauréats différents, mais pour un seul dans chaque ville.

Enfin, si vous souhaitez assister aux prochains concerts, n'hésitez pas à consulter le calendrier du prix Nouvelle Scènes Music Machines. RDV sur l'onglet Événement, de notre page facebook.